Pourquoi la mort emporte-t-elle ceux que nous aimons ? Pourquoi arrache-t-elle parfois les enfants ou les proches sans prévenir, laissant derrière elle un vide immense ? Ces questions hantent l'esprit de ceux qui traversent le deuil, plongés dans un désarroi total. Les mots manquent, les regards s'éteignent, et la douleur devient une compagne silencieuse, insaisissable. Rien ne semble pouvoir combler l'absence ni apaiser ce manque qui nous serre la gorge. Dans ce moment de rupture, où tout semble perdu, il est difficile de concevoir que ce vide puisse être traversé.
RÉINCARNATION et LIBRE ARBITRE
Malgré notre liberté de décider, nous sommes tenus moralement responsables de nos actes. Nous n’avons aucun droit ni aucune mainmise sur la vie d’autrui, même si certaines personnes s’arrogent le droit de le faire.
Toutefois un humain peut, outrepasser les interdictions, dans son libre choix pour sauver des êtres en difficulté, même si cela influe dans leurs vies, sa conscience lui dictant de le faire.
La conscience et une partie prenante dans notre liberté de faire selon notre volonté, sans elle nous ne pouvons pas prendre de décisions constructives. (La conscience permet de choisir, le libre arbitre d’accepter.)
ÂME ET SUICIDE : RUPTURE D’INCARNATION
Le suicide n’est pas un acte de lâcheté comme certains le pensent, mais désespéré.
La personne qui se suicide ne veut pas mourir.
Elle désire simplement mettre fin à une souffrance émotionnelle ou physique insupportable. Cependant, cette détresse affecte les capacités de discernement et la conscience de soi de la personne.