ALLAN KARDEC ET L’ÉGLISE
Le LIVRE des ESPRITS un ouvrage majeur de la spiritualité et de l’occultisme écrit par Allan Kardec et publié en 1861. Il fait partie du corpus du spiritisme, une doctrine créée par Kardec. Ce livre traite de diverses formes de médiumnité, explorant la communication avec des esprits et abordant des thèmes tels que la nature des esprits, les manifestations spirites, les facultés des médiums, l’obsession et la possession, ainsi que la morale spirite. L’ouvrage, divisé en parties distinctes, présente des principes, des exemples et des réflexions sur les phénomènes spirites, encourageant une approche méthodique. Il a été influent au XIXe siècle pour le mouvement spirite et reste une référence pour les passionnés de phénomènes paranormaux et de communication avec les esprits, offrant des perspectives sur l’âme et l’au-delà.
Allan Kardec a été explicitement mis sur la liste des livres interdits par l’Église catholique, connue sous le nom d’Index Librorum Prohibitorum. Cette liste comprenait des publications jugées hérétiques, immorales ou dangereuses pour la foi et la morale. Créé au 16e siècle, l’Index a été révisé à plusieurs reprises avant d’être aboli en 1966.
Allan Kardec, également connu sous le nom d’Hippolyte Léon Denizard Rivail, était un éducateur français, écrivain et fondateur du spiritisme, une croyance spirituelle populaire au 19e siècle. Ses ouvrages les plus connus, tels que « Le livre des esprits » et « Le livre des médiums », ont exposé les principes fondamentaux du spiritisme.
ALLAN KARDEC & L’ÉGLISE
« L’Association Allan Kardec, établie à Lyon, a révisé le “Livre des Esprits”, mais il est à noter que le nom de Dieu y est toujours mentionné, ce qui peut entrer en contradiction avec la croyance en la réincarnation. Il est crucial de souligner que certaines personnes peuvent croire en Dieu tout en adhérant à la notion de réincarnation. Chacun est libre de suivre ses propres croyances.
Pour l’Association Allan Kardec, il est supposé qu’ils n’ont pas modifié le texte des livres afin de respecter les convictions des lecteurs de diverses religions. Cependant, il aurait été opportun de le préciser, clarifiant ainsi leurs intentions et évitant toute confusion parmi les lecteurs. »
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