Est-il vrai qu’une âme choisit elle-même les circonstances de sa naissance ? Selon certaines croyances, avant de s’incarner, l’âme déterminerait non seulement sa famille — qu’elle soit riche ou pauvre — mais aussi les défis, les capacités et même les traits de personnalité qu’elle développera au cours de sa vie. Cette vision invite à réfléchir sur le lien entre nos vies antérieures et notre existence présente.
La régression dans les vies antérieures est une pratique ancienne, souvent utilisée pour guérir ou atténuer des souffrances physiques ou émotionnelles chroniques. Sous la guidance d’un thérapeute, une plongée dans des souvenirs enfouis permet d’explorer les origines profondes de certaines douleurs.
Anaïs Thiebaux, journaliste et rédactrice spécialisée dans la santé, a rédigé un article captivant intitulé « Qu'y a-t-il après la mort ? ». Dans ce dernier, elle relate l'expérience hors du commun de Fabienne Raoul, une ingénieure ayant vécu un malaise cardiaque qui l'a plongée dans une EMI (Expériences de Mort Imminente).
L'auteur de ce texte sur le suicide tente de se mettre à la place de la personne qui envisage de mettre fin à ses jours. Bien qu'il puisse imaginer la situation, il ne pourra jamais réellement ressentir l'état de désespoir et de détresse profonde qui accompagne une telle décision. Cette expérience intérieure est unique et intensément personnelle.
Imaginez-vous plongé dans une obscurité profonde et inextricable, où chaque jour est une lutte constante pour respirer, pour trouver une raison de continuer. Chaque pensée est une marée montante de douleur, de tristesse et de désespoir. La vie, autrefois pleine de couleurs et de promesses, semble désormais être une prison froide, où chaque mur se rapproche, rétrécissant votre espace, étouffant votre existence.
Tout d'abord, la vidéo est présentée par un jeune homme, ce qui est peu commun dans ce genre de contenu. Ensuite, c'est la manière dont il aborde le sujet qui retient l'attention. La vidéo parle des EMI (Expériences de Mort Imminente), un sujet complexe et souvent entouré de mystère et de spéculations.
Peut-on sombrer dans le gouffre du suicide ou s’adonner à l’euthanasie ? La réponse est affirmative, mais entourée de conditions impératives, même si cela semble présomptueux, il faut se rendre à l’évidence que l’écrire ne changera rien. Il convient, tout d’abord, de prendre conscience que le geste, assisté ou non, est empreint d’égoïsme, une réflexion tournée exclusivement vers soi-même.
Lorsque nous choisissons de commettre des actes moralement répréhensibles, notre première réaction est souvent de les dissimuler, de les enterrer au plus profond de notre conscience. Nous ne voulons pas affronter la réalité de nos propres actions, préférant nous convaincre que nous n’avons rien fait de mal. C’est une forme d’auto duperie qui nous permet de maintenir une illusion de pureté morale, même lorsque nous savons au fond de nous-mêmes que nos actions étaient mauvaises.
Une histoire prenante de Mme Isabel Waller-Rigo après une mort apparente, par suite d'une chute et d'un coup reçu à l'arrière de la tête à l'âge de 8 ans. Dans son récit captivant, Mme Waller-Rigo décrit avec précision les sensations et visions qu’elle a eues durant son expérience de mort imminente. En regardant la vidéo de son témoignage, on est transporté dans un monde où la frontière entre la vie et la mort devient floue.