Est-il vrai qu’une âme choisit elle-même les circonstances de sa naissance ? Selon certaines croyances, avant de s’incarner, l’âme déterminerait non seulement sa famille — qu’elle soit riche ou pauvre — mais aussi les défis, les capacités et même les traits de personnalité qu’elle développera au cours de sa vie. Cette vision invite à réfléchir sur le lien entre nos vies antérieures et notre existence présente.
Pourquoi chercher des preuves sur la réincarnation, la parapsychologie, les médiums ou tout ce qui touche à l’ésotérisme ? Pourquoi cet acharnement à vouloir tout expliquer par des faits tangibles, alors que certaines réalités échappent à notre entendement rationnel ? Plutôt que de courir après des preuves extérieures, pourquoi ne pas simplement observer et expérimenter par vous-même ? L’expérience directe est souvent plus révélatrice que des démonstrations scientifiques, car elle implique une rencontre intime avec l'inconnu et les mystères de la conscience.
La régression dans les vies antérieures est une pratique ancienne, souvent utilisée pour guérir ou atténuer des souffrances physiques ou émotionnelles chroniques. Sous la guidance d’un thérapeute, une plongée dans des souvenirs enfouis permet d’explorer les origines profondes de certaines douleurs.
Kardec a démystifié la réincarnation, la transformant d’un concept abstrait et mystique en une théorie spirituelle systématisée. Ses écrits sur le sujet, tels que « Le Livre des Esprits » et « Le Livre des Médiums », sont considérés comme des textes fondamentaux dans le domaine du spiritisme. Ils ont fourni des réponses à de nombreuses questions sur la vie, la mort et l’après-vie, apportant du réconfort à ceux qui cherchaient un sens à leur existence et à leur mortalité.
Lorsque nous choisissons de commettre des actes moralement répréhensibles, notre première réaction est souvent de les dissimuler, de les enterrer au plus profond de notre conscience. Nous ne voulons pas affronter la réalité de nos propres actions, préférant nous convaincre que nous n’avons rien fait de mal. C’est une forme d’auto duperie qui nous permet de maintenir une illusion de pureté morale, même lorsque nous savons au fond de nous-mêmes que nos actions étaient mauvaises.
Dans la tranquillité de son quotidien, l’homme trouve refuge dans le cocon de sa routine. Cette routine, bien que sécurisante, peut devenir une prison dorée, où la quête de sécurité et de satisfaction masque les opportunités de croissance et de découverte. En s'entourant de sa famille et en s'installant dans une existence confortable, l’homme préserve ses certitudes et ses habitudes. Cependant, cette stabilité apparente apparaît souvent au prix d'une stagnation personnelle et intellectuelle.
le concept de réincarnation nous plonge dans un univers de mystères fascinants, où la frontière entre le réel et l’imaginaire devient floue. Que l’on y croie ou non, l’idée de la réincarnation interpelle notre compréhension de la vie, de la mort et de ce qui pourrait se trouver au-delà. Continuer à explorer ces questions avec un esprit ouvert est essentiel pour approfondir notre connaissance de nous-mêmes et de l’univers qui nous entoure.
Dans la réincarnation, aucune entité toute-puissante, aucun dieu miséricordieux ou bouddha altruiste n’existe. Contrairement aux religions, il n’y a pas de puissance supérieure qui pardonne ou absout les péchés. Si tel était le cas, la réincarnation perdrait sa raison d’être, étant donné qu’on ne peut pas être absout tout en payant nos fautes, ce qui serait contradictoire.
Pourquoi la mort vient-elle emporter ceux que nous chérissons, qu’il s’agisse d’un enfant ou d’un parent proche ? Cette expérience de deuil nous plonge dans un abîme de désespoir, créant un vide immense, un désarroi total, un manque qui serre notre gorge, semblant dépourvu de toute issue. Nous sommes confrontés à l’irréversibilité, où tout est perdu : pas de mots réconfortants, pas de baisers, pas de regards, ni de paroles pour apaiser notre douleur. C’est ce que nous traversons lorsqu’un membre de notre famille disparaît.